Lorsque l’on est jeune et que l’on se projette dans l’avenir, il y a ceux qui sont sûrs de ce qu’ils veulent faire et ceux qui, à l’inverse, sont en plein doute. Les premiers s’imaginent déjà en train d’évoluer et de performer à la tête de leur société, quand les seconds n’ont aucune idée de leur avenir et angoissent à l’idée de faire le mauvais choix pour leur orientation. Pourtant, quel que soit le profil de ces lycéens, aucun n’aura une route toute tracée devant lui, une fois ses études terminées. Le monde d’aujourd’hui est ainsi : personne ne peut prédire de quoi l’économie de demain sera faite, ni quelles évolutions connaîtra tel ou tel secteur d’activité.
Être en mesure de se réorienter
Nombreuses sont les personnes qui sont aujourd’hui en poste et dont le métier n’existait pas il y a trente ans. Cela est dû à l’arrivée du web comme au développement des technologies numériques dans tous les domaines professionnels. On a affaire à plus de réseaux informatiques ou de sites web que l’on pouvait l’anticiper il y a encore dix ans et donc de nouveaux besoins émergent en permanence sur le marché de l’emploi. Ceux dont le métier disparaît ou dont l’entreprise est délocalisée peuvent toujours suivre un bilan de compétence et donc prendre une nouvelle voie, tant il y en a désormais qui s’ouvrent.
Se former à l’âge adulte
C’est pour cela qu’il n’est pas nécessaire d’angoisser quand on est jeune : avec un peu de volonté et de patience, mais aussi avec les soutien de professionnels des ressources humaines, n’importe qui peut aujourd’hui choisir de changer de métier, ou bien de se former pour en apprendre davantage sur le sien. C’est de cette façon que l’économie fonctionne au vingt-et-unième siècle, et c’est plutôt une bonne chose pour les personnes qui se sentent mal dans leur entreprise ou qui sont persuadées de ne pas avoir la bonne voie dès le départ.
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